mercredi 22 avril 2009

où l'on spricht very well allemand

salut....

reviendue vivante de mon test d'allemand... mais de peu ! je vous explique toute l'aventure. hier, une madame du Goethe Institut me téléphone pour me dire que l'oral aura finalement lieu à 12h30, pour qu'on finisse plus tôt. très bien, je ne relève pas. de toutes façons, je n'avais pas regardé l'heure, donc ok, je serai là pour 12H30, ça m'est égal.
et ce matin, je me réveille en sursaut à 7h du mat. je traîne un peu au lit, puis je prends une grosse douche. Je mange tranquillement devant Arte en allemand, puis un peu avant 10h je révise quelques expressions, histoire de me remettre dans le bain. je fais un petit test blanc, je tourne en rond. je suis prête à 11h moins le quart. je rallume l'ordi à 11h10 pour vérifier l'itinéraire. je pars donc avec au moins une demi heure d'avance à 11h25. et dans l'ascenseur, j'entends mon portable. c'est déjà un miracle puisque je l'avais mis en silencieux en prévision. et la dame de l'institut me dit qu'on m'attend pour l'oral...
AAaaaaaaaaah !!
alors je pédale plus vite que l'éclair, j'en ai mal au poumons, j'ai le vent en pleine poire...
j'arrive là-bas avec 20 mn de retard. Une demoiselle s'occupe de moi. ça n'a pas l'air d'être un problème, personne ne m'engueule.
en fait, je savais que c'était un oral sans professeur, juste avec une cassette qu'on enregistre. donc pas vraiment un problème si je le fais 20mn plus tard que prévu. je n'aurai pas de pause déjeuner, c'est tout. (m'en fout, j'ai mangé avant)

mais je vous raconte pas la situation idéale : je viens de pédaler comme une folle, puis de courir comme un folle avec mes talons pour trouver ce foutu endroit, je suis rouge comme une pivoine et j'ai mal à la gorge d'avoir couru, un goût de sang dans la bouche, je ne sais plus comment je m'appelle, je n'arrive plus à aligner deux mots... super.

en dehors de ça, je crois que ça a été. mais je vous assure que c'est pas marrant du tout. tu te retrouves devant un lecteur enregistreur de cassettes pour tout interlocuteur. sauf qu'il y a quand même une jeune fille qui te surveille et qui t'entend, donc ça te fais stresser un peu plus. puis on te pose une question, tu as un petit temps pour y réfléchir, et tu dois parler dans le micro. au bout du temps imparti, un bip t'informe qu'on passe à la question suivante.
et là, c'est le flip. soit tu parles et tu es brusquement interrompue par le bip et tu ne peux pas finir ta phrase, soit tu parles, tu t'arrêtes, et s'en suit un horrible blanc où tu attends péniblement le bip rédempteur. affreux.

ensuite, la compréhension écrite s'est très bien passée je crois. la compréhension orale, moins bien. puis la composition écrite, je ne saurais pas dire. je ne crois pas avoir fait tellement de fautes, mais ça tournait un peu en rond mon histoire.
ce qui est bizarre avec cet examen, c'est que tu ne le passes pas dans un niveau particulier. en fait, en fonction du nombre de bonnes réponses que tu donnes, ils te mettent dans le niveau 3, 4 ou 5. l'avantage, c'est que si je craignais de rater le 4 mais que je pensais avoir le 3, ben j'ai pas besoin de passer 2 fois l'examen. Mais du coup, tu as aussi des trucs super durs auxquels tu ne peux pas répondre, et ça stresse pas mal.
enfin, je suis contente que ce soit fini. là, je me suis acheté des crevettes (hors de prix !!) et je vais me préparer un bon truc bien frais : crevettes, avocat et pamplemousse. j'adore ça. je n'en mange jamais, mais j'adore ça. avec un peu de paprika dessus... mmmmm !

je vous bise !

lundi 20 avril 2009

où l'on aime la rentrée

poulettes et poulettes, bonjour.

dur dur de reprendre le boulot, moi je vous le dit. j'ai mis à peu près 89 minutes à me lever. heureusement, j'avais prévu large. bon, j'ai fait 3 courses pas très glorieuses, j'ai déjeuné devant la télé, et je m'en suis extirpée à 9h35 pour arriver en retard à la fac। no stress। je prend mon petit vélo - en soi, c'est déjà une aventure, puisque après plus de 10 jours d'absence, les chaises et les étendoirs à linge avaient poussé sur le chemin. donc je sors avec mon petit vélo, je fais le chemin, et j'arrive à la fac... la porte de devant est fermée. bon. je fais le tour, et les bloqueurs sont à toutes les entrées... je croise une fille de ma promo, on se dit bonjour (genre). puis elle me dit de laisser qu'il y aura pas cours, on marche un peu jusqu'à la sortie, puis elle me dit "tu boites?". hum. super, non, je suis juste venue avec des talons...
ça rassure tout de suite sur la démarche et l'élégance, ce genre de truc, hein? tu te fais belle, tu t'habilles un peu, tu sors du rythme "vacances-pyjama", tu mets des chaussures sexy, et on te demande si tu boites...
bon. je rentre à la maison. du coup. et là, je viens de passer, quoi, aller, 2h devant la télé. j'ai regardé "newport beach" et 3 épisodes de friends. attention, c'est du sérieux.

j'ai prévu d'aller faire du shopping, je dois m'acheter une robe de concert. mais il fait moins beau que ce matin, et là j'ai attrapé la flemingite aigüe. alors je bloggue.

sinon, ce weekend.. qu'est-ce que j'ai oublié. ah, oui, ben hier matin, je me suis réveillée avec un voix affreuse, complètement coincée au fond de la gorge. c'était nul pour la répète, j'ai pas pu évaluer le niveau de fatigue à la fin du filage, puisque j'étais fatiguée au début. c'est difficile à évaluer, le temps que je peux tenir à chanter. surtout que pour un concert, c'est toujours différent.
puis bon, malheureusement, on a dû embaucher Louis pour tourner les pages, et il est toujours entrain de ramener l'attention sur lui. genre entre chaque morceau, il essaie de faire des blagues ou de râler sur la difficulté de sa tâche... ou de faire des réflexion sur le fait que je ne suis pas du matin, et que ça s'explique par mon fonctionnement énergétique, et que parce que j'ai un Chi du foi qui je-sais-pas-quoi... ça m'énerve toujours ces jugements qu'il porte commme ça sur tout le monde. sous prétexte qu'il connait sa médecine chinoise, il doit toujours se mêler de la santé de tout le monde, même si on lui demande rien. c'est un exploit d'arriver à ne pas se faire soigner par lui quand on le connait. puis je sais pas, ya des informations qu'on peut te donner sur toi même, qui sont intéressantes, constructives.. mais venant de lui, c'est comme une espèce de malédiction ou de truc qui te colle à la peau comme un vieux chewing-gum.
"ah oui mais vous êtes trop dans le mental, vous sortez pas assez, vous êtes des intellos, puis vous avez un vide d'énergie de la rate parce que vous rentrez vos colères, quoi?! vous mangez des endives ?! mais c'est très mauvais pour ceux qui ont un chi du foi qui se je-sais-pas-quoi !"
c'est pas des infos qu'il dit pour toi, il les dit pour montrer qu'il en sait plus sur toi que toi-même. et ça, c'est énervant.

enfin, je pourrais écrire un livre tout ce que j'apprécie chez lui. mais ne lui consacrons pas trop d'énergie...

(beark, j'ai des remontées de saucisse de francfort de ce midi... charmant. je sais. mais je sais qu'un jour, je serai une reine du glamour, promis.
:D

je vous embrasse

dimanche 19 avril 2009

où l'on est back home !

poulettes, et poulettes, me revoilà dans mon chez moi !
et bon dieu, ça fait quand même du bien.
alors, là, sachez que j'ai eu la bonne idée d'acheter du miel en rayon, avec la cire. j'adore ça, sauf que la boite n'est pas étanche du tout. alors j'adore acheter ça au marché à la petite mamie qui a des abeilles, mais ses boites... bref, j'ai ouvert le couvercle, je l'ai posé sur mon bureau et j'ai mis le coude dedans. je vous laisse deviner l'état de ma manche. j'ai mis du miel à peu près dans toute la maison. trop ouéééééé..

sinon, on a bien répété avec les filles ce week-end. surtout la 2ème répète était super bien. Figurez-vous que l'impossible est arrivé : j'ai ému mon beau-paps !
je vous laisse admirer la progression : il est passé du casque anti bruit au petit frisson : c'est pas beau, ça?
je suis très fière de moi.

bon, je ne ferais pas trop long ce soir, parce que j'ai quand même quelques trucs de haute importance à faire (bigophoner la clopinette, me brosser les dents... un agenda de ministre, je vous le dit.)

des bises !
et plus de précision demain, promis ;)

dimanche 12 avril 2009

où il pleut-mouille-et-fête-à-la

poulettes et poulettes, salut.

un beau dimanche pluvieux qu'on vient d'avoir. et sans oeufs, cette année. en même temps, je crois qu'on n'a jamais vraiment fêté pâques, alors pas de manque. puis on a déjeuné tranquille avec le tontonibus, qui fait toujours plaisir à converser. sans compter que lassé de ne jamais recevoir de proposition suite à son cadeau de noël à retardement (il nous offrait un spectacle de notre choix), ben il a décidé de nous donner le pognon aujourd'hui, et vogue la galère; donc je suis présentement riche comme une émirate. la grenouille aux oeufs d'or.

sinon, soyez heureuses d'apprendre que je pète à longueur de journée. chouette, non? je suis grave atteinte par le syndrome père/frère, les deux plus grands péteurs devant l'éternel, et qui surtout, ne s'en cachent absolument pas. il s'en délectent, même. on a vu mieux comme compagnie. mais l'un des deux gazomanes s'en va demain, donc ça va libérer un peu l'atmosphère. chargée...

ah oui, bon, je ne sais plus si je l'ai dit à tout le monde, mais donc j'ai la confirmation pour Erasmus, ce qui veut dire que quoi qu'il arrive au niveau des concours je peux partir pour une 3ème année de fac à berlin. bon, tout ça, c'est bien sûr en dehors des modalités de validation de mon année... et vu comme c'est parti, j'ai aucune idée de comment va se passer cette fin de semestre. tout ce qui compte, c'est que je l'ai. inch'allah.

et dans le même genre de nouvelles, mais à l'envers, je ne tenterais pas le concours de Cologne cette année, c'est mort. pour un simple raison de délai d'inscription et surtout de paiement d'inscription, et de grenouille qui ne s'inquiète pas de ne pas recevoir de réponse à ses interrogations. ou trop tard. je ne saurais jamais la réponse au mystère "pourquoi le BIC/SWIFT ne fonctionne pas? est-ce qu'ils ont une banque imaginaire?" de toutes façons, c'est trop tard.
curieusement, j'en suis à peine affectée. tout ça me parait tout à fait, je sais pas. trop. loin, haut, dur, trop tard, trop tôt. trop quelque chose. je bosse mes morceaux choisis trop tard, et je les trouve inadaptés, je suis mal à l'aise sur la plupart. je me sens à côté de mes pompes et j'ai aucune illusion positive quant à l'issue de tout ça. pour Weimar, encore, peut être. je me dis que peut être.

un truc bête, on a discuté avec pôpa du dernier spectacle avec Filou, et de ce qu'il avait imaginé pour plus tard, comme approfondissement du jeu de scène et des personnages (pôpa, pas Filou), puis, je sais pas... j'y ait repensé et ça m'a mis la mélancolie. parce que quand même... rha. j'avais tiré un trait sur toute cette histoire. en fait, ce qui se passe, c'est que j'ai le sentiment de n'avoir pas autant à vendre en chanson qu'en lyrique. je m'explique. je veux dire que ma voix est trop propre. j'ai un timbre trop clair, je n'ai pas de grain ou ces petites imperfections qui me plaisent dans la chanson ou le jazz. cette qualité naturelle que j'ai d'avoir la voix très droite, très propre et très haute, est une qualité en classique, et un défaut en chanson. c'est, je sais pas. c'est plat, c'est sans caractère. c'est joli, quoi. et du coup, je n'ai jamais vraiment envisagé de pouvoir faire ça. juste de la chanson, si je puis dire. (en dehors du fait que j'aime le lyrique et que je m'éclate à faire des vocalises qui en jettent un max, of course ;)
mais au fond, ce que je préfère, c'est bien cette simplicité du rapport au public qu'on a avec Filou, ce... le fait que ça puisse être décontracté, sans être bâclé, qualité, mais tranquille. le fait qu'on puisse raconter des histoires, des poèmes, des conneries, qu'on puisse faire un peu les cons, des chansons tristes, des gaies, des bêtes, des rigolardes... inventer un truc comme ça, un petit bout de monde à nous, et à ceux qui sont là aujourd'hui, avec nous. c'est ça qui me plaît, aussi.
j'aime bien le joyeux mélange qu'on a choisi, puis cette complicité simple et franche.
puis je sais bien que, même si je la juge, ma voix, la plupart de ceux qui sont venus aux concerts n'ont pas trouvé ça. ils ont beaucoup apprécié... mais parce que je compense peut-être, en faisant des tronches, en jouant avec mes mots..

j'ai peur de perdre ça. mais j'ai peur de me lancer là-dedans et de plus tard, regretter de n'avoir pas fini au moment où je le pouvais encore, d'avoir terminé (si tant est qu'on puisse terminer) ma formation lyrique.
et j'ai peur de gâcher ce goût-là. enfin, j'en sais rien. mais tout est tellement flou, ya tellement d'inconnues à mon équation que
je vais tellement changer, me diriger dans tel couloir, bifurquer à gauche, puis à droite, croiser telle personne, quitter telle autre

j'ai la trouille, en fait. voilà. j'ai les jetons. je pisse dans mon froc. et j'aime pas trop l'humidité là dedans.
tout ça pour dire que j'ai repensé à notre aventure avec Filou, et que ça me fend le coeur de terminer ça comme ça.

tout s'accélère d'un coup avant la grande cascade et j'ai l'impression de perdre les commandes du canoë. ya un peu trop de courant. d'habitude, j'aime bien me laisser flotter, mais là, c'est plutôt l'angoisse de ne pas savoir dans quel fleuve je vais me jeter.

c'est un festival de métaphores aujourd'hui.
peut être parce que je viens de finir un bouquin nul de conversations téléphoniques entre nanas, qui ne parlent que par métaphores très recherchées, qui font style d'être très naturelles.

pfff, il est temps que j'aille voir mon psy, moi...
aller, plus qu'un jour et demi !
;)
je vous bise...

vendredi 10 avril 2009

où le fond de la mare est frais

poulettes et poulettes, salut.

Je suis partie plus tôt que prévu chez le père, suite à une grève (encore) de la fac. cette fois, ça a un peu dégénéré, et même l'administration a décidé de boucler les locaux pour quelques jours. Alors mercredi soir, j'étais déjà là.
j'ai jeûné que 3 jours (Le-terreau sera contente), parce que d'abord je sentais pousser des envies de crumble et de tarte tatin à la glace vanille, pas du tout compatibles, et que les deux autres n'avaient pas l'air très motivé. même si au départ, c'est surtout le frère qui en ressentait le besoin. anyway, j'ai repris. Comme ça, je peux profiter des salades sauvages.
par contre, il fait grisounet depuis 2 jours et c'est pas très motivant.
hier on a collé une grande mosaïque sur le mur du garage et du coup, pas eu le temps d'aller à la piscine, mais on me l'a promis pour aujourd'hui. alors hein....

euh, je dois dire que la motivation retombe sévère. je suis énervée que ma prof ait cette fois encore été très méchante, et j'ai très envie de ne plus coopérer. c'est encore plus la zone à la fac, alors je fais encore plus pas mon travail.
puis c'est la crise, c'est la crise au centre de la voix, c'est la crise à la fac, c'est la chiotte avec ma prof de chant, et de toutes façons on n'aura pas de boulot. voilà. vive les perspectives d'avenir.
et comme je ne me sens pas n une âme de militante ni de bénévole, ben je glande.
j'écoute les discours du père sans grande conviction, les yeux dans le vague, en faisant "hinhin" de temps en temps. je lis toutes les BDs qui traînent, je me suis enfilé tous les Agrippine, puis tous les nouveaux bouquins que papa avait acheté pour la soeur et qu'il a oublié de lui apporter. au moins, quelqu'un en profite.

bon, c'est pas si pire, hein ! ce soir, on va au ciné et tout à l'heure on va à la piscine. donc si je ne pense qu'à là, maintenant et aujourd'hui, ça baigne ! je laisse faire, comme dit ma prof, je laisse venir. je fais la paresseuse.

c'est bien, 10 jours de vacances après 8 semaines de non-cours. ça repose, un peu.

j'envisage d'aller me caler dans les grads sous un chêne truffier, avec des bouquins, 2 ou 3 bombes de chantilly et des bons ptits gâteaux à la cannelle.
puis non. j'ai quand même l'estomac très vite rempli, ça m'écoeure rien que d'y penser. pas tout de suite. demain, peut être.
:)

j'espère qu'il ya plus de soleil chez vous, dans tous les sens que vous voulez.

côacôa

lundi 6 avril 2009

où l'on se pas-content

Poulettes et poulettes, bonsoir.

Today était un jour sans moi. ça arrive... que des foiritudes en masse. je ne sais pas si je vous épargne la massacre. disons que, j'ai raté un cours parce que j'ai pas regardé mon agenda, j'ai pas eu cours parce qu'il n'y a pas eu cours, et j'ai séché le troisième. Ouiche. c'est glorieux.
passons sur la piscine en vacance sans le dire à personne, l'autre piscine qui est exceptionnellement fermée pour problème technique et le vélo qui déraille juste après que je grille une priorité à droite. mouif. on y est, là je crois.

mais sinon, le magnolia est toujours autant en fleurs et il sème à tous vents ses jolis pétales.
et passons sur l'achat compulsif d'une boite de cookies, d'une bombe de chantilly (light, n'exagérons rien) et d'un pot de fromage blanc allégé. passons, je vous dit.

et attention, j'ai eu le paternel au téléphone ! aha ! enfin ! ça fait trop plaisir. et j'y cours jeudi soir. Figurez-vous qu'on va peut-être jeûner en famille.. j'ai converti le frère et j'ai proposé au père, alors qui sait.. peut être. ce serait rigolo ! au lieu du déjeuner de famille, on va faire le jeûne de famille.
en tous cas, je vais profiter du nouveau complexe piscine qu'ils ont bâtit à côté de la maison. c'est à 20mn à pieds. le pied ! le père est tout rigolard en pensant aux voisins qui se sont tous construit des piscines dans le jardin, et que maintenant on en a une encore plus grande à proximité, qu'on n'a pas besoin de filtrer ni de passer le filet à grenouilles mortes et autres joyeusetés. rigolard, le père.

Bon ! chaque jour est une aventure. et aujourd'hui, c'était des aventures juste commencées.

ah ! j'allais oublier que dans les bonnes nouvelles, mon dossier de Weimar a été accepté (ouf, pas encore 44€ dans le vent..), ainsi que ma candidature pour le test de langue allemande. donc c'est un stress de moins !
on va y arriver, je vous dit.

bon, je vous laisse, j'ai des envies de jazz ce soir, alors je me jette sur mon ptit piano.

mille millions de mille baisers à chacune de vous !