mardi 26 mai 2009

où l'on reste au lit et qu'on s'émotionne d'un rien

flash info news :
une grande attaque de malédiction féminine est tombée ce matin sur lyon gerland, clouant au lit les malheureuses victimes.

Putain, j'aurai jamais cru que cette foutu pomme se digérerait si mal. Depuis que j'ai croqué dedans, elle me déchire le ventre une fois par mois. Décidément, c'était vraiment un pauvre type ce serpent.
Tout ça pour quoi? hein? pour avoir l'insigne honneur de porter des enfants, de prendre 20 kilos, de subir l'enfer et de passer le reste de sa vie à pisser dans sa culotte en rigolant? super...

puis ça tombe bien, j'ai juste une dissertation à rendre pour demain. Je me lèverai à 5 heures pour la rédiger, voilà tout. (soupir...)

Gosh, les mecs, vous êtes bénis !

C'est pas compliqué, j'ai eu droit aux sueurs froides, aux bouffées de chaleur, aux crampes abdominables genre "tordons-nous dans les bois" et à l'impossibilité de garder quoi que ce soit dans mon pauvre est-ce-thomas. je vous passe les détail. Love it.

et en plus comme je suis toute émotionnable, je pleure toute les 5 minutes, en me posant la question si c'est de joie ou bien.
waouw.

dormir...

en vrai, en ce moment, je regarde les enfants, et je viens de me rendre compte, c'est incroyable comme ils sont ptits ! hier j'en ai vu un trop mignon, un ptit noir, me demandez pas quel âge, j'en sais rien. Mais minuscule. bon, genre l'âge à marcher et à parler. Et je passe près de lui, puis il me regarde comme si j'étais une montagne (que j'étais, je faisais vraiment 2 fois sa taille). et le trognon tirait un énooorme sac rose, aussi gros que lui, avec écrit un truc dessus genre "vive les filles "ou autre. Trop-chou.

ouais. enfin bon, on va en rester là, sinon je vais encore verser une larme.


Ceci dit, je suis absolument ra-vie que ça tombe maintenant, vous savez pourquoi? Parce que ça veut dire que la semaine prochaine, je serai toute débarassée et au top de ma zenzoualité... haha.
Je vais te vamper les jurys, moi, quelque chose de sérieux. ^^

see you, fellows

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c'est trop aimable, j'en perds mes mots