vendredi 21 janvier 2011

où ça tourne au contenu pour adultes

Les gros mots de tous les jours 
et leur interprétation psychologique en regard de leur analogues français

Sachez messieurs dames, qu'en pays d'Hollanderie, lorsque l'on discute, on ne se raconte pas des histoires, on "vieille-pute". 
- Donc si ça te dit on peut aller prendre un café chez A&M et vieille-puter un peu
(celà suppute que la conversation reste assez peu philosophique, mais quand même, c'est du langage plus que courant)

De la même manière, nous avons "parler", version dire des âneries, qui s'exprime ici par le verbe suivant : "biter". 
- Mais qu'est ce que tu me bites encore, toi..

Et enfin, le petit frère dudit "biter", c'est le "gateau de bite", qui signifie donc ânerie.

Bien sûr, nous connaissons  l'appellation courante de l'ímbécile (le "con"de chez nous), ici sous forme de "gland" soit de "bite", au choix.
Ce qui témoigne assurément de la galanterie du batave en général qui utilise comme sobriquet critique les parties mâles et non femelles. Ceci dit, c'est avec regret que depuis quelques années nous avons vu apparaitre le "con" qui se fait de plus en plus populaire, puisque l'interjection résonne régulièrement dans les chaumières et les cafés. équivalent de notre "putain" et "putain de" (qu'ils trouvent désopilant, d'ailleurs)

Bien sûr, nous avons aussi l'international "shit" (qui curieusement, n'est pas utilisé en langue locale. ça ne vient à l'idée de personne de s'exclamer "poep!" au moment de râter son train.)

sur ces jolies paroles, je vous laisse, moi je vais voir Harry Potter au cinéma.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

c'est trop aimable, j'en perds mes mots