samedi 29 janvier 2011

soyez rondes, qu'y disaient

quand même, c´est hilarant
les magazines surfent sur la grande vague du "Big is Beautiful"
avec encore une fois top model Crystal Renn en première page
qui décidément se paye tous les numéros spécial grosses (la pauvresse fait un petit 42...)
et Red ne nous épargne pas
avec une énième interview de la belle (sont un peu à la bourre chez Red) racontant son bouquin (sorti ya deux ans quand même)
et le plus drôle, c'est que sur la couverture
nous avons en article secondaire
Fiona qui a perdu 40 kilos
qui depuis, revit.

y sont drôles...

2 commentaires:

  1. Dame NONO16:28

    Tu sais déjà ce que je pense de toutes ces coconneries. Pour les magazines, les "rondes" sont en taille, comme tu dis, 42, voire 44 (ou je n'ai pas bien saisi). Alors, avec mon quintal, j'ai fière allure !!! M'en fous. Il n'est pas question que je souffre pour entrer dans du 42. A eux de faire des vêtements qui me vont. Et des beaux S.V.P. avec de la couleur et de jolies formes. NON MAIS ! La moutarde me monte au nez quand je vois les "UNES" des magazines (là, je ne sais jamais s'il faut un z ou un z) m'en moque aussi un peu. Alors, ne parlons plus de rondes. Je suis grosse et je l'assume. Et comme j'ai le sourire, je provoque le sourire des ZOTRES. Je force la sympathie. NA. Et malheur à qui me parle de "nourriture équilibrée" et autres fadaises du même style. Qu'ils me parlent de joie de vivre, ça les changera. Je connais des maigres qui ont plein d'emmerdements de santé. Ils passent l'arme à gauche comme les gros. Alors, hein ???

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  2. ouais c'est que par rapport au 34 de leurs collègues, elle sont grosses, quoi, tu vois. pis pour les fringues alors, j'ai jamais compris pourquoi Paris était capitale de la mode. ou alors, c'est juste pour la haute couture, qui nous sert de l'insipide, du beige au noir en osant le gris. (pointu, le gris). mais alors pour la couleur, dommage que tu ne puisse pas faire les soldes ici... c'est la fiesta de la couleur ET de la grande taille.

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c'est trop aimable, j'en perds mes mots